Publié le 3 Avril 2024

Dans la quête d'une société plus juste et égalitaire, le logement se dresse comme un pilier fondamental. C'est le socle sur lequel reposent les rêves et les aspirations de chacun. Pourtant, la réalité de nombreux citoyens témoigne d'une profonde disparité dans l'accès à un logement décent. Dans ce contexte, la voix du socialiste engagé résonne avec force, appelant à une transformation profonde de nos politiques et de nos mentalités.

L'avenir n'est pas une route tracée d'avance. Il est malléable, forgé par nos actions présentes. Si les obstacles peuvent sembler insurmontables, le socialiste engagé refuse de se résigner à l'ordre établi. Au contraire, il voit dans chaque défi une opportunité de construire un monde meilleur. Ainsi, la crise du logement ne saurait être une fatalité, mais plutôt un appel à l'action.

La réalité actuelle ne doit pas dicter les contours de notre avenir. Trop souvent, les politiques publiques se contentent de gérer les urgences du moment, sans offrir de solutions durables. Le socialiste engagé refuse cette logique de court terme. Il aspire à une vision plus ambitieuse, basée sur la justice sociale et le respect de la dignité humaine.

Au cœur de cette vision réside la conviction que le logement n'est pas un privilège, mais un droit fondamental. Chaque individu, quelle que soit sa condition, mérite un toit digne et sécurisé. Cela implique de repenser radicalement nos politiques de logement, en mettant fin à la spéculation immobilière et en investissant massivement dans la construction de logements abordables.

Enfin, le socialiste engagé place la solidarité et l'empathie au cœur de son action. Il refuse de détourner le regard devant la souffrance de ceux qui peinent à trouver un logement. Au contraire, il tend la main à ceux qui en ont besoin, offrant un soutien matériel et moral pour les aider à reconstruire leur vie.

Dans la lutte pour un logement digne pour tous, le socialiste engagé se dresse comme un fervent défenseur de la justice sociale. En refusant de se résigner à l'ordre établi, il ouvre la voie à un avenir où le logement n'est plus un privilège, mais un droit inaliénable. À nous de saisir cette opportunité et de forger ensemble un monde où chacun peut enfin trouver sa place, un toit sur la tête et de l'espoir dans le cœur.

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Rédigé par Marie

Publié le 8 Novembre 2022

Pour obtenir un rendez-vous avec une préfète local, il est nécessaire d'effectuer un appel en ligne. Malheureusement, ce service est compliqué à trouver et les erreurs font rage. Voici comment vous pouvez éviter de vous retrouver sur les listes blanches grâce à Preflib.fr

Les difficultés rencontrées pour trouver un rendez-vous en préfecture !

Les difficultés rencontrées pour trouver un rendez-vous en préfecture !
Il est parfois difficile de se faire inviter à un rendez-vous avec la préfecture. D’abord, il peut être difficile de trouver une date et ensuite, il est important de bien préciser les besoins du client. Voici quelques conseils pour réussir son coup en préfecture !

Les raisons pour lesquelles il est difficile de se faire voir en préfecture !

Il est difficile de se faire voir en préfecture car c’est un lieu où les politiques se rencontrent et font des compromis. Les dirigeants locaux n’ont pas souvent le temps de traiter les problèmes quotidiens des gens, et les affaires importantes sont traitées par les ministres. Les représentants de la population ne disposent pas non plus d’un grand pouvoir.

Comment réagir face aux difficultés rencontrées pour trouver un rendez-vous en préfecture ?

Si vous êtes confronté à ces problèmes, voici les solutions que vous pouvez envisager :

- essayer de contacter directement la préfecture ;
- faire une demande de rendez-vous sur leur site internet ;
- passer par un cabinet d'avocats spécialisés dans les affaires administratives

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Rédigé par Marie

Publié le 22 Juillet 2019

Vous retrouverez l'intégralité de l'article sur la loi egalim ici 

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Rédigé par Marie

Publié le 16 Mai 2019

Quoi de nef dans les quartiers populaires ? Et bien pas grand chose, parce que l'hyper-président Nicolas Sarkozy et ses obligés n'en ont que faire ... Pourtant demain, ce sera un triste deuxième anniversaire, synonyme de dédain et d'impuissance. C'est le 27 octobre 2005 qu'ont commencé les émeutes urbaines les plus graves de notre histoire, après la mort à Clichy-sous-Bois de deux adolescents poursuivis par la police dont un certain Nicolas Sarkozy était en charge. Deux ans sans rien voir venir pour les classes populaires, deux ans d'inaction de la part de la droite, des promesses durant les campagnes électorales, puis à nouveau plus rien ! Deux ans après ces terribles incidents, les 6 millions d’habitants des quartiers populaires se sentent abandonnés par le pouvoir, dont on peut se demander s’il n’entend pas leur faire payer d’avoir voté massivement à Gauche aux dernières élections présidentielles. Plus encore, certaines politiques contribuent directement à l’aggravation de la situation dramatique des quartiers : abandon de la police de proximité, réduction des crédits aux associations, démolitions de logements sans reconstructions, suppression des aides aux transports publics urbains, fin prochaine de la carte scolaire et réductions d’effectifs dans l’Education nationale, franchise médicale, précarité accrue du code du travail, loi SRU imposant 20% de logements sociaux inappliquée par les villes de droite, etc… La consultation nationale engagée par Fadela Amara, secrétaire d’Etat chargée de la politique de la Ville, avec l’aide surprenante des fédérations de l’UMP, peine à trouver des interlocuteurs dans les régions, car elle est perçue comme une manœuvre dilatoire. C'est bien gentil de dénoncer "la glandouille", mais encore faudrait-il avoir un minimum de considération pour ces citoyens qui se sentent souvent aussi exclus du marché du travail que de la République. Les habitants veulent des actes, plus des mots, fussent-ils issus du langage des jeunes de la cité (N'est-ce pas Fadela ?). Ils attendent des mesures concrètes pour obtenir un logement décent, un quartier sûr, une éducation de qualité, un accès à l’emploi, des services publics efficaces. Symboliquement, la ville de Clichy n’a toujours ni tramway ni commissariat de police ni code autoradio (site web). Les promesses n'engagent que ceux qui veulent bien y croire, la majorité UMP - Nouveau Centre et son batteleur de président le savent bien et savent volontiers en jouer. Les élections municipales seront l’occasion d’envoyer au Gouvernement la facture, et de conforter des municipalités de Gauche, représentatives de la diversité de nos quartiers, combatives, imaginatives, en attendant la grande politique de Solidarité Urbaine qui réduira la fracture territoriale qui mine notre pays. (via communiqué de presse Maillot.io)

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Rédigé par Marie

Publié le 19 Septembre 2016

Mes chers amis,


La rentrée est tardive sur mon blog, le boulot (passionnant au Régime Social des Indépendants) et les états d'âme (aussi bien militants que sentimentaux) ne participant pas à l'activisme de ce carnet de bord militant. Mon humeur du moment ne m'amène pas à commenter la lamentable attitude des éléphants socialistes ou des barons locaux, la façon dont j'aborderais le sujet serait proche des paroles de la Mano Negra : "Comme envie de sang sur les murs, comme envie d'accident de voiture ...".


Quel sera donc l'objet de cette note, vous demandez-vous. J'ai envie de vous parler de la vie d'à côté de la politique, de mes coups de coeur du moment. Ca fait longtemps que je ne vous ai parlé des gens, des disques, ou des livres qui me font vibrer. Dans cet exercice impudique, je n'excèle pas mais je m'essaye. Pardonnez cette envie de partager avec vous ce petit supplément d'âme.


Côté gens bons, gens biens, gens exceptionnels, je vais vous parlez de Matildy. Il s'agit d'une artiste anciennement lyonnaise qui a le talent de mettre en musique mes textes et d'avoir pour mari un brillant garçon qui m'a choisi comme témoin à son mariage.


Assez ri, Matildy prépare son deuxième album, "Vie de merde" tout un programme. Une souscription est lancée pour un album de douze titres qui méritera le détour. Un ou deux titres sont de ma plume, dont un en écoute sur son Myspace :"L'amer à boire". Des concerts sont prévus chez mes copains de l'Absynthe, au Café du bout du monde, au Ninkasi et au CCO entre octobre et novembre. Renseignez-vous auprès du Label Poon.


Côté musique, ma claque du moment, c'est "Finistériens", le dernier album de Christophe Miossec réalisé par son complice Yann Tiersen. Hyper-intimiste, ce disque marque une étape supplémentaire dans la carrière du chanteur breton et de son compère compositeur. On y ressent un apaisment après la tourmente des premiers albums comme "Boire", "Baiser", ... Pour Tiersen, c'est la générosité de prêter la quintescence de son génie à Miossec que j'admire.


Plusieurs titres ont attiré mon attention. "Les joggers du dimanche" ou la course sans fin d'une vie ordinaire, "Fermer la maison" une ode sur le thème de la séparation, ou encore "Une fortune de mer" dont la mélancolie vous emporte vers un spleen digne de Léo Ferré, comme "un mal qui vous fait du bien".


Côté livres, je ne vous parlerai pass d'une nouveauté mais de "Chagin d'école", le seul livre de Daniel Pennac que je n'avais pas encore lu. Le témoignage d'un enseignant de convictions, cancre repenti, m'a ému au plus haut point.


J'ai retrouvé dans cet ouvrage ce qui m'a donné la curiosité de lire du temps révolu de la découverte hésitante de la littérature, et surtout l'envie d'écrire. Merci monsieur Pennac pour ses heures de bonheur à vous lire ou à convaincre des amis à découvrir vos oeuvres.


Côté écriture, je tiens à rassurer mes amis, mon roman avance. "L'amer à boire" pour titre, comme la chanson écrite pour Matildy, ce livre traitera de la nuit lyonnaise, des amis fidèles, des amours tourmentées, de la chanson côté scène et côté coulisses. Un carnet de bord d'un garçon sans boussole, avec des clins d'oeil appuyés sur des anecdotes que nombre de mes proches ont partagé.


Durant mes nuits estivales d'inspiration intensive, j'ai écrit "Une lettre à Matthieu Côte", un ami disparu dont les talents d'auteur et de chanteur promettaient une destinée exceptionnel. Parti avant d'avoir trente ans, il me manque ... autant que Claire Merpit du groupe Fun Carmen ou que la douce Soazig Le Lay, ancienne chanteuse des Oisives dont le projet artistique The Milk m'avait conquis et amené à la faire venir à Lyon pour jouer.


J'ai dans la tête la voix de Soaz reprenant "I Go to sleep" des Pretenders, les éclats de rire de Matthieu et le timbre suave du chant de Claire ...


Dans mes petits bonheurs du moment, la pensée destinée à ses amis disparus me rappelle que rien n'est éternel et qu'il faut jouir de chaque instant, carpe diem camarades ! Ma lettre à Matthieu m'a fait souffrir à l'écrire et je crois que je ne suis pas prêt à la partager, mais ça viendra sans doute un jour ... C'est un au revoir assumé plutôt que digéré car il reste l'absence. En attendant, je célèbre pour eux chaque moment précieux de mon quotidien pourtant si ordinaire.


Un dernier mot pour vous dire que si je n'ai pas traité de politique dans cette note, je reste attentif quant à la crise que subit le Parti Socialiste et je vous assure qu'il faut voir dans mon silence sur la question une profonde inquiétude et une détermination sans faille à ne pas laisser tomber "la vielle maison" de Blum et Jaurès dans l'escarcelle d'egos surdimensionnés sans projet, ni conviction.


Socialiste eNGagé parce que le monde est trop dur pour le laisser à la droite je demeure, mais en donnant à la vie tout son sens. J'ai choisi il y a un an de quitter le microcosme sclérosé de la politique locale tout en restant aussi actif qu'exigeant et je dois avouer que j'ai réappris à vivre et à goûter des plaisirs que j'avais oubliés.


Fini les compromis, la langue de bois ! La liberté n'a pas de prix et le recul que j'ai pris m'ouvre des perspectives que je ne pouvais avoir le nez dans le guidon. Bref je vais bien et je voulais vous le dire.


A très vite.

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